La Puna
Un si joli, si simple, petit mot
Sa rencontre, un choc
Arrachant une partie de mon âme à jamais

Le ciel d’un bleu torride
Les volcans toujours plus hauts
Règnent en maîtres
Couronnés d’un blanc immaculé

A leurs pieds
Une immensité
Leurs serviteurs zélés s’affairent
A repousser quiconque s’y aventure

Les hommes les nomment Vent, Froid, Altitude
L’ isolement est total
La beauté sans égale